Travailler à l’international les nouvelles aspirations de la Gen Z

Entre quête de sens, ouverture culturelle et envie d’agir autrement

Travailler à l’étranger n’est plus seulement un “plus” sur un CV. Pour une large partie de la Gen Z, c’est devenu un objectif concret, une envie forte, voire une nécessité. Que ce soit pour apprendre autrement, vivre une expérience humaine intense ou chercher un rythme de vie différent, les jeunes d’aujourd’hui ne rêvent plus forcément de carrière verticale, mais de trajectoires ouvertes et connectées au monde.

Chez KEOS, nous le voyons chaque jour : de nombreux étudiants nous rejoignent avec le désir affirmé de s’ouvrir à l’international. Non pas pour fuir, mais pour comprendre. Comprendre d’autres cultures, d’autres manières de travailler, d’autres visions du business. Dans un monde de plus en plus interconnecté, où les frontières professionnelles sont de plus en plus floues, cette envie d’ailleurs devient une compétence à part entière : la mobilité, l’adaptabilité, la curiosité.

Les nouvelles générations ne cherchent pas uniquement un poste dans une entreprise internationale. Elles veulent du concret : contribuer à des projets à impact, collaborer avec des équipes multiculturelles, apprendre en faisant, s’imprégner de réalités locales. L’expérience internationale n’est plus perçue comme une pause ou une parenthèse, mais comme un vrai levier de développement personnel et professionnel.

Les destinations ne sont plus choisies pour leur prestige, mais pour leur sens. Certains partent pour découvrir l’innovation en Asie, d’autres pour accompagner une ONG en Afrique, ou intégrer une startup en Amérique latine. Ce qui compte, ce n’est pas tant la distance que la qualité de l’expérience, la richesse des échanges, la capacité à grandir au contact de l’autre.

C’est pour cela que KEOS met l’international au cœur de sa pédagogie, à travers les Learning Expeditions, les projets interculturels ou les opportunités de stages à l’étranger. Nous voulons que chaque étudiant puisse vivre au moins une expérience forte hors de son environnement habituel, pour apprendre à se réinventer, à écouter, à s’adapter. Car ces soft skills-là, ce sont celles que recherchent aujourd’hui les entreprises du monde entier.

Travailler à l’international ne signifie plus forcément partir dix ans dans une filiale à l’autre bout du monde. Cela peut prendre mille formes : télétravailler pour une entreprise étrangère, créer un projet transfrontalier, rejoindre une communauté mondiale d’entrepreneurs. La mobilité professionnelle se réinvente, et la Gen Z est aux premières loges de cette transition.

Ce désir d’ouverture est une richesse. Et chez KEOS, nous faisons tout pour qu’il ne reste pas un simple rêve, mais qu’il devienne une réalité concrète, structurante, et profondément humaine.

Le monde est ouvert. Il appartient à cette génération d’en faire un terrain de jeu, d’engagement et de sens.

 

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