L’entrepreneuriat explose chez les moins de 25 ans

Une génération qui n’attend plus qu’on lui ouvre les portes

C’est une tendance de fond : de plus en plus de jeunes se lancent dans l’entrepreneuriat, souvent bien avant leur diplôme. À moins de 25 ans, ils créent, innovent, osent. Ils bousculent les codes, questionnent les modèles établis et inventent de nouvelles façons d’entreprendre. Ce mouvement, KEOS l’observe, l’encourage et l’accompagne. Car il incarne une valeur fondamentale de l’école : apprendre à prendre sa place dans un monde en transformation.

Longtemps, entreprendre était perçu comme une étape “après”. Après les études, après quelques années d’expérience, après un parcours classique. Aujourd’hui, cette logique est dépassée. Les étudiants n’attendent plus d’être “prêts” : ils agissent. Ils testent une idée, montent une micro-entreprise, lancent une marque sur les réseaux, participent à un projet collectif. Ils n’ont pas toujours toutes les clés, mais ils ont l’envie, l’énergie et une capacité d’adaptation impressionnante.

Ce boom de l’entrepreneuriat jeune s’explique par plusieurs facteurs. Le numérique a simplifié l’accès aux outils, aux marchés, aux communautés. Les réseaux sociaux permettent de créer une audience, de tester un concept en quelques semaines. La crise écologique pousse aussi une partie de cette génération à entreprendre autrement, avec du sens, en cherchant des modèles durables. Enfin, beaucoup aspirent à plus de liberté : ils veulent construire leur rythme, leur vision, leur vie professionnelle sur-mesure.

Mais entreprendre jeune, ce n’est pas toujours simple. On peut vite se sentir seul, manquer de recul, ou se heurter à des freins administratifs, financiers, ou tout simplement culturels. C’est là que les écoles ont un rôle à jouer. Pas seulement en transmettant des compétences, mais en créant un cadre où l’initiative est encouragée, valorisée, accompagnée. KEOS le fait à travers ses projets concrets, son réseau d’experts et de mentors, et une pédagogie fondée sur le passage à l’action.

Chez KEOS, on n’attend pas la fin du cursus pour parler business model, pitch, stratégie ou développement commercial. On invite les étudiants à tester, à itérer, à apprendre par l’expérience. Que ce soit un projet personnel, un collectif, ou une future startup, chaque initiative a sa place. Et même si tous ne deviennent pas entrepreneurs à long terme, ils en ressortent grandis, avec une posture plus proactive, une meilleure gestion du risque, et une vraie confiance en eux.

L’explosion de l’entrepreneuriat chez les moins de 25 ans n’est pas une mode : c’est un signal. Celui d’une génération qui veut construire autrement. Une génération qui ne cherche pas forcément la stabilité, mais l’impact. Et qui a besoin d’accompagnement pour transformer ses idées en projets, et ses projets en réussites.

Chez KEOS, nous ne formons pas des exécutants. Nous formons des acteurs. Et parfois, des fondateurs.